LE G5 ON THE ROAD Edition du 2 Novembre 2008 |
PREAMBULE
Après quelques mois d'arrêt, revoici le journal du GR5 tel le phoenix renaissant de ses cendres. En effet, compte tenu des nouveaux adhérents et de l'arrivée de la période automne/hiver propice aux défections consécutives au manque de motivation, sa parution nous a paru nécessaire.
PROPOS DU JOUR
7h30 : ouverture des volets avec appréhension vu la journée pluvieuse de la veille. Ô joie, la route est sèche et des petits carrés de ciel bleu sont présents, juste de quoi faire « une culotte de gendarme ». Me voici guilleret à la perspective de rouler avec mes commères/compères du GR5.
9h00 : de nombreux cyclotes/cyclos squattent joyeusement le parking du point de départ. 1, 2 nous serons 11 au départ du GR5 avec 3 transfuges du GR4.
10 représentants du sexe dit « fort » entourent/protègent l'unique représentante du sexe dit « faible » en la personne de Brigitte du fait de l'absence d'Agnès et Maryse, empêchées.
Comme à l'accoutumée, nous patientons 3 mn pour laisser arriver Bernard, notre retardataire habituel bien que demeurant à proximité. Raison invoquée du retard : saut de chaîne . Ouaip !!
Nous voilà au complet. En avant pour le Mesnil St Denis via la ZI Trappes. L'allure est « pépère », çà papote ( Eh ! Oui Maryse. Même en ton absence ). A Girouard, virage à gauche et là cela papote moins vu le % et le mauvais revêtement. Nos nouveaux, Dominico et Didier, font connaissance avec la 1 ère et unique montée délicate de la mâtinée.
Tiens ! Dominico chevauche un vélo dit de course. Renseignement pris, il s'agit d'un prêt de J.M Puechberty pour un test avant l'éventuel achat d'un vélo neuf.
Au sommet de la côte nous reprenons quelques éléments du CO Les Ulys où Sylvain retrouve parmi eux une de ses connaissances. De plus, ces collègues de bagne nous présentent une cyclote ayant effectué le Paris / Pékin. Bon, le rythme ayant baissé suite à la bavette de Sylvain, me voilà contraint de relancer la cadence au grand regret de notre vénéré Sylvain. Oh ! Eh ! Nous sommes pas là pour discourir comme dans un salon de thé.
Les Essarts, l'Artoire sont passés ; Direction Les Mesnuls. Belle route, beau revêtement, léger vent de face, je prends la tête. Vitesse 26/27. Pas de quoi fouettez un chat, d'autant que notre moyenne est > à 21km. Mon allégresse est tempérée par Sylvain qui craint que nous arrivions trop tôt. Je me positionne en queue pour me modérer et taille la bavette avec mon Marcel préféré.
Nous avalons tranquillement Les Mesnuls, Montfort. Se présentent alors la bosse de Bazoches puis celle de Tremblay où les écarts dus à la fatigue commencent à se creuser. La portion entre Jouars et Elancourt met certains à l'épreuve. Il est vrai que cette partie est usante en fin de parcours avec ses faux plats. Heureusement, le vent habituellement contraire, nous est favorable.
Nous saluons le templier de la Commanderie pour nous présenter dans la ZI Trappes où notre Bernard s'octroie comme d'habitude la montée du pont malgré les tentatives désespérées de certains dont Dominico.
11h36 : arrivée au VCMB
CONSTATS
Didier fait de nets progrès.
Dominico s'est éclaté avec le vélo de JMP. Connaissant la fin du parcours, il m'a fallu le tempérer de temps à autres.
La balade fut agréable avec un temps non prévu par les sites météo
PS : nous espérons que Marcel, parti en avant (eh, oui nous nous permettons le luxe d'envoyer un G énéral en « éclaireur ») lors de la pause à Bazoches réclamée à cors et à cris, est bien rentré et n'a pas reçu les foudres de Madame La Générale.
Editeurs, Rédacteurs en chef, Journalistes sportif, Photographes,, etc : Sylvain Grison et Michel Escure
B. BIANCO